mardi 30 août 2011

Top 10 des plus belles routes du monde - La Nationale N°1A du Vietnam

0 nhận xét

La Nationale N°1A du Vietnam figure parmi les dix plus belles routes de randonnée en vélo du monde, selon un classement publié par le site web anglais : www.lonelyplanet.com de BBC Worldwide.
Dans la présentation de la Nationale N° 1A , cette page web a décrit : « la Nationale N° 1A traverse le Vietnam du Nord au Sud. C’est un des trajets intéressants pour les pédalistes au Vietnam. Elle court le long des plus belles plages du Vietnam agrémentées des cols, surtout le célèbre col des Nuages à 496 mètres d'altitude qui est limité par la chaîne de montagnes à l’Ouest et par la mer douce à l’Est ».
col des Nuages
Les touristes ont l’occasion d’admirer les rizières verdoyantes le long de la route, dans la vallée ; de plonger dans l’eau de mer turquoise et de s'adonner aux plaisirs de la campagne.
Outre la Nationale N° 1A du Vietnam, " Lonely Planet " a également élu l’île Wight en Angleterre, la régions côtière occidentale en Australie, Luberon et Mont Ventoux en France, l’archipel San Juan aux Etats-Unis, le comté Clare en Irelande, la Farola au Cuba, l’archipel Otago en Nouvelle-Zélande, l’île Cape Breton au Canada et Friuli-Venezia Giulia en Italie.

Source: http://www.wikio.fr
Read more...

lundi 29 août 2011

Sanctuaire de Mi-son

0 nhận xét
Du IVe au XIIIe siècle, la côte du Viet Nam contemporain accueillait une culture unique, associée par ses racines spirituelles à l'hindouisme indien. Cette relation est illustrée par les vestiges d'une série d'impressionnantes tours-sanctuaires, au cœur d'un site remarquable qui fut pendant quasiment toute son existence la capitale religieuse et politique du royaume de Champâ.




Description historique

Le royaume de Champâ est né en 192 après J.- C., quand le peuple de la région de Tuong Lam se dressa contre ses suzerains chinois et fonda un État indépendant dans l'étroite bande de terre qui longe la côte de l'Annam. Cet État est connu d'après des archives chinoises sporadiques, dans lesquelles il apparaît successivement sous le nom de Lam Ap, Hoan Vuong et de Chiem Thanh, une transcription de Champâpura, qui signifie « la cité du peuple cham ». L'économie cham était basée sur l'agriculture (culture en rizières), la pêche et le commerce maritime.
Les Chams tombèrent sous l'influence de l'hindouisme du sous-continent indien à un stade précoce de leur développement, quoique la date exacte ne soit pas connue. Ils construisirent de nombreux temples dédiés aux divinités hindouistes : Krishna et Vishnou, par exemple, mais par-dessus tout Shiva. Le bouddhisme mahayana, qui doit avoir pénétré la culture cham plus tard, probablement au IVe siècle, s'implanta solidement au nord du royaume de Champâ, mais le l'hindouisme et plus particulièrement le culte de Shiva resta la religion officielle.
Ce royaume comptait deux cités sacrées, appartenant chacune à un grand clan. Mi-sön (dont le nom, en vietnamien, signifie « belle montagne ») était sacrée pour le clan Dua (Narikelavansa en sanscrit), qui vénérait le roi mythique Srisanabhadresvara et gouvernait Amaraveti, la région septentrionale du royaume ; c'était également la capitale de tout le royaume de Champâ. Si la signification religieuse de Mi-sön était importante, son emplacement lui donnait également une importance stratégique car, nichée au coeur d'un petit cirque montagneux, la cité était une place forte facile à défendre.
Les monarques qui se succédèrent du VIe au VIIIe siècle favorisèrent Mi-sön et la dotèrent de temples magnifiques. Entre 749 et 875, le clan Cau prit le pouvoir et, pendant un temps, la capitale fut transférée à Vivapura, au sud du territoire. Néanmoins, Mi-sön conserva son importance religieuse, et reprit sa place au début du IXe siècle, sous le règne de Naravarman Ier, qui remporta nombre de batailles contre les armées chinoise et khmère.
Dés le début du Xe siècle, l'influence du bouddhisme commença à s'étioler, au bénéfice de Mi-sön, où l'hindouisme avait toujours dominé. Quand arriva le règne de Giaya Simhavaram, à la fin du Xe siècle, il s'était hissé à un pied d'égalité avec le bouddhisme dans le royaume cham. C'est à cette époque que furent construits la majorité des plus beaux monuments architecturaux subsistants.
Pendant la plus grande partie du XIe siècle, la guerre fit rage et Mi-sön, à l'instar d'autres sites sacrés de Champâ, en pâtit grandement. Harivarman IV ramena la paix dans le royaume. Vers la fin du siècle, il avait transféré sa capitale à Do Ban, mais entreprit néanmoins de restaurer Mi-sön. La guerre éclata à nouveau au XIIe siècle, quand Jaya Indravarman IV attaqua l'empire khmer et mit sa capitale à sac. Les représailles furent immédiates, et le royaume cham fut occupé par les Khmers de 1190 à 1220.
À partir du XIIIe siècle, le royaume cham déclina lentement et fut absorbé par le pouvoir croissant du Viêt-nam. Il cessa d'exister en tant qu'entité à la fin du XVe siècle, et Mi-sön cessa parallèlement d'être un lieu de culte.
Source: http://whc.unesco.org
Read more...

dimanche 28 août 2011

Chevauchée culturelle au pays natal du saint Gióng

0 nhận xét
À l'entrée du Nord-Est de la capitale, le district de Gia Lâm (Hanoi) jouit d'un patrimoine historique et culturel très riche. Exploitant ses potentiels culturels, le Comité populaire du district de Gia Lâm compte concevoir des circuits touristiques. 



Le district de Gia Lâm appartenait autrefois à la province de Kinh Bac dont la culture est estimée comme l'une des plus anciennes du pays. D'ailleurs, Gia Lâm se trouvait à l'entrée Nord-Est de la capitale Thang Long. Forte de cette position géographique, la culture de Gia Lâm a bénéficié de l'influence conjuguée de celles de Kinh Bac et de Thang Long. La culture de Gia Lâm a connu ainsi un essor remarquable, visible encore aujourd'hui par son réseau abondant de monuments historiques et culturels. 

Si le district compte 172 villages, il y a 250 monuments historiques et culturels (pagodes, temples, maisons communales...), dont un bon nombre reconnus par l'État. Les travaux de restauration et de conservation de ces monuments sont exécutés avec soin et précision. Au cours de ces dernières années, quelque 52 monuments culturels, historiques ont été restaurés pour un montant global avoisinant les 44 milliards de dôngs. Un investissement nécessaire pour protéger comme il se doit les patrimoines historiques. 

Autre remarque importante, Gia Lâm est le berceau de nombreuses personnalités légendaires, historiques. Si le pays a quatre saints immortels, Gia Lâm en compte à elle seule la moitié : le saint Gióng ou Phù Dông Thiên Vuong et Chu Dông Tu. Gia Lâm est le pays natal de maintes personnalités historiques telles la reine mère Y Lan (?-1117), l'homme de lettres Cao Ba Quat (1809-1854)... À Gia Lâm, plusieurs villages sont réputés pour leur tradition "d'aimer les études" comme Phu Thi ou Bat Tràng... Autrefois, de nombreux enfants de ces villages réussirent leurs études et devinrent mandarins de haut niveau de la Cour royale...

Gia Lâm, qui est aujourd'hui un district suburbain de Hanoi, compte beaucoup de villages de métier qui ont une histoire pluri-centenaire. Et aujourd'hui encore, ces métiers traditionnels se perpétuent de générations en générations. À savoir le village de céramique de Bat Tràng, et le village de Kiêu Ky connu pour sa fabrication de quy, ces feuilles d'or très minces servant à dorer les statues de bouddha, les sentences parallèles, les objets de culte... Gia Lâm possède encore beaucoup de fêtes traditionnelles qui sont organisées solennellement chaque année. La fête du saint Gióng des villageois de Phù Dông (commune de Phù Dông) a été reconnue l'an passé en tant que patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO. Traversant des millénaires, cette fête traditionnelle a su conserver de nombreux éléments primitifs traduisant l'identité nationale mais aussi des valeurs universelles. 

Exploiter les potentiels culturels 

"Le patrimoine culturel de Gia Lâm contient à la fois des éléments matériels et immatériels qui sont autant d'atouts pour le développement du tourisme",déclare le chef du Bureau de culture et d'information du district de Gia Lâm, Hô Huy Thinh. Doué de cette conscience, le Comité populaire de Gia Lâm vient de concevoir le projet d'investissement dans la conception de circuits touristiques dans le district. Ainsi, Gia Lâm a coopéré avec l'Union scientifique sur la conservation et le développement de la culture du Vietnam et du Sud-Est asiatique pour effectuer une étude sur les édifices historiques, culturels de Gia Lâm. Huit groupes de monuments représentatifs sont sélectionnés pour concevoir un tour touristique culturel. Ces sites représentatifs sont éparpillés sur huit communes : Bat Tràng, Da Tôn, Kiêu Ky, Ninh Hiêp, Phù Dông, Van Duc, Duong Xa et Phu Thi. La prochaine étape du projet de conservation et d'exploitation des vestiges historiques et culturels de Gia Lâm sera la restauration de certains d'entre eux. Enfin, ce sera l'établissement du circuit touristique traversant ces sites... Le projet prévoit de former des guides touristiques spécifiques à ce tour et de préparer les moyens de locomotion au service des visiteurs. 

Lors de chaque arrêt effectué durant ce tour, les touristes pourront découvrir les différents aspects de la culture locale. Ainsi, à Phù Dông, le pays natal du saint Gióng , les visiteurs auront l'occasion d'assister à la fête du génie, d'apprendre les différentes significations des représentations principales de cette fête traditionnelle. Ils pourront visiter une série de monuments historiques relatifs à la légende du saint Gióng comme les deux temples dédiés à ce génie céleste et à sa mère, ainsi que la pagode de Kiên So qui se trouve à côté du temple dédié au saint Gióng . C'est dans cette pagode antique que le roi Ly Thai Tô (974-1028), (roi fondateur de la dynastie des Ly qui décida de transférer la capitale vers Thang Long-Hanoi d'aujourd'hui), fit ses études sur le bouddhisme. (Voir le Bouddhisme au Vietnam)

Dans la commune de Duong Xa, le pays natal de la reine mère Y Lan, les touristes visiteront le temple Bà Tâm qui lui est dédié, et qui a été bâti vers la fin du XIe siècle. Lê Thi Yên, alias Y Lan, orpheline de sa mère dès 12 ans, eut une enfance difficile. Les villageois la considéraient comme Tâm, la Cendrillon vietnamienne. Ainsi, le temple dédié à sa personne est baptisé du nom de Bà Tâm (Dame Tâm), de même que la pagode qui fut construite en 1115 sous l'ordre de la reine mère. En mars dernier, la commune de Duong Xa a inauguré la statue monumentale à son effigie. D'un coût de 22 milliards de dôngs, la grande statue, en cuivre, contribue à embellir le site du temple et de la pagode Bà Tâm qui s'étend sur trois hectares. 

En se rendant dans la commune de Kiêu Ky, les visiteurs peuvent non seulement faire connaissance avec les fabricants des quy, mais également contempler les arbres somptueux dressés fièrement depuis plusieurs centaines d'années, lesquels sont considérés comme les plus vieux arbres du pays. Le banian a plus de 700 ans, l'aliboufier en a plus de 600. Ces arbres séculaires se trouvent dans l'enceinte de la pagode et du temple de Kiêu Ky. Ce tableau est loin d'être exhaustif. En effet, de nouveaux paysages remarquables et de belles découvertes attendent encore les visiteurs.


Souce: Le courrier du Vietnam
Read more...

vendredi 26 août 2011

A la campagne de Lào Cai, le terroir a du goût

0 nhận xét
Le district de Bat Xat, province de Lào Cai (Nord), vient de présenter cinq villages sélectionnés pour développer le tourisme communautaire de l'axe Lào Cai-Bat Xat-Sa Pa, lesquels présentent des aspects fort intéressants sur le plan culturel. 

Le premier, Lung Pô, est situé en amont du fleuve Rouge. Il deviendra une nouvelle destination pour le tourisme écologique, associé au village culturel des H'mông dans le hameau Lung Pô II. 

Le deuxième village désigné est Lao Chai, dans lequel vivent des Hà Nhi, et où sera développé le tourisme communautaire. 

Vient ensuite la commune de Dên Sang, où les touristes peuvent et pourront découvrir les traits culturels de l'ethnie Dao rouge, au travers notamment de leurs coutumes originales. 

Le marché Muong Hum, sélectionné également, permet aux visiteurs de découvrir les différents aspects d'un marché montagneux et de ses échanges traditionnels. 

Le dernier de la liste est la commune de Ban Xèo. Une excellente occasion de découvrir la culture des Giay... 

Ces lieux, situés aux alentours de la ville de Lào Cai et de Sapa, se prêtent parfaitement à l'organisation de randonnées pédestres ou à vélo, avec un dépaysement total pour les touristes quelque peu aventureux venus faire escale en ces lieux insolites. 

La dénomination de ces cinq lieux tourististiques communautaires est la première étape de l'éveil des potentiels touristiques à l'Ouest de Lào Cai. Le but affiché est de valoriser les traits culturels et d'élaborer de nouveaux circuits séduisants aux yeux des touristes. 

Le district de Bat Xat est en train de parachever le système de gestion étatique sur le tourisme. Il prête une grande attention à l'ouverture de cours de formation à l'intention des cadres et des chefs de villages dans l'aménagement du tourisme, tout en mettant en avant ses atouts pour le tourisme de villégiature et de découverte, sans négliger l'intensification des activités de promotion et des campagnes d'information à propos de ses potentiels. 

La topographie du district de Bat Xat, situé au Nord-Ouest de Lào Cai, est très variée et propose un profil intéressant avec ses vallées, ses sources, ses forêts sauvages et ses villages à flanc de montagne. Ce paysage naturel d'exception incite les touristes les plus aventureux à s'y rendre. En plus de ses paysages naturels, Bat Xat cache encore d'autres trésors, culturels cette fois, que constituent les ethnies minoritaires comme Giay, Dao, H'mông, Hà Nhi.


Source: http://fr.vietnamplus.vn
Read more...

jeudi 25 août 2011

Hanoi : tourisme et artisanat font bon ménage

0 nhận xét
Un des traits caractéristiques de Hanoi réside dans ses villages de métiers où se croisent douceur de vivre et tradition. Ils ont un rôle actif à jouer dans le développement économique de la ville en créant de nombreux emplois mais aussi en étant des destinations touristiques attrayantes de la capitale. 


Bát Tràng - Hà Nội

Depuis l'élargissement administratif de Hanoi, celle-ci compte 1.350 villages de métiers dont 244 villages de métiers traditionnels, venant en première place du pays en la matière.

Leur préservation et leur développement ont un rôle important pour l'essor de la capitale, a affirmé le vice-ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Hô Xuân Hùng. 

Mais nombre d'entre eux connaissent des difficultés de développement. Ils cherchent à diversifier leurs activités. D'autres ont réussi à relever le défi tels ceux de céramique, de sculpture, d'incrustation sur nacre, de broderie, de laque, de vannerie, de joaillerie…

Par ailleurs, en raison du développement rapide des technologies, plusieurs méthodes de production artisanale sont sur le point de disparaître car elles sont substituées par des procédés mécaniques. 

En réalité, l'apparition de nouveaux métiers contribue à la création des postes de travail, à la modification de la structure de l'emploi ainsi qu'à l'amélioration des revenus des travailleurs, a affirmé le vice-ministre Hô Xuân Hùng. 

Ainsi, à côté du développement des nouveaux métiers, il nécessite des solutions et des politiques favorables pour les villages de métiers. 

Le Docteur Dào Thê Anh de l'Institut scientifique de l'agriculture du Vietnam a, pour sa part, recommandé, outre la production, de ne pas négliger le développement du tourisme dans les villages de métiers. Il faudrait selon lui réaliser une communication complète sur les circuits de villages de métiers les plus typiques de la capitale. 

Ces derniers temps, plusieurs sites ont profité de circuits dans les villages, tels ceux de céramique de Bat Tràng, de la soie de Van Phuc, de l'incrustation de nacre Chuyên My, de forgeron de Da Si…




Source: Le courrier du Vietnam

Read more...

mardi 23 août 2011

Bientôt le festival touristique des provinces du Nord-Ouest

0 nhận xét
En passant par la région Tây Bac
La province de Son La est connue non seulement par la centrale hydroélectrique homonyme, la plus grande d'Asie du Sud-Est, mais aussi par ses montagnes peuplées d'ethnies minoritaires. De belles opportunités pour l'essor du tourisme. 

Les valeurs culturelles et les potentialités touristiques de la province seront valorisées lors du Festival "En passant par la région du Tây Bac - Son La", prévu du 27 août au 2 septembre. Ce programme de promotion touristique verra la participation des provinces voisines de Hoà Binh, Diên Biên et Lai Châu. 

Le festival lancera la stratégie de développement touristique, basée sur les atouts de la province pour créer des produits touristiques attirants et respectueux de l'environnement. Il contribuera également à établir une "alliance régionale" en la matière, dans le but de mettre en œuvre un programme similaire organisé à tour de rôle par les quatre provinces du Tây Bac (Nord-Ouest). 

Le Service de la culture, des sports et du tourisme de Son La s'est engagé à organiser des activités reflétant les identités culturelles et spécialités locales : tour du Tây Bac, foire touristique et commerciale, semaine cinématographique, compétitions sportives, jeux populaires, colloques, représentations artistiques… 

Selon Mai Thu Huong, directrice du Service provincial de la culture, des sports et du tourisme, lors de la foire touristique et commerciale, les visiteurs seront informés sur les produits agricoles bio et de haute qualité de Son La. Le point d'orgue du festival sera la fête touristique "En passant par la région Tây Bac", qui sera retransmise en direct à la télévision. Seront présentés certains sites typiques de Son La, comme les grottes des districts de Môc Châu et Yên Châu, le lac-réservoir de la centrale hydroélectrique de Son La, des villages d'ethnies minoritaires, etc. Avec ses atouts, Son La met l'accent sur l'essor touristique, considéré comme une force motrice de son développement socioéconomique, pour une diminution rapide et durable de la pauvreté. 

Le nombre de touristes à Son La augmente chaque année : 380.000 dont 32.000 étrangers en 2010, soit une hausse respectivement de 2,4 fois et 1,9 fois par rapport à 2005. Le parc hôtelier suit cette tendance. La province compte désormais 105 hôtels de diverses catégories, soit un total de 1.500 chambres.


Source: http://fr.vietnamplus.vn
Read more...

lundi 22 août 2011

Topas Sa Pa, un nouvel art de recevoir en altitude

0 nhận xét
Topas Sapa
Le complexe Topas Sapa, avec ses 25 charmantes petites villas en granite blanc, bien équipées avec un mobilier rustique mais confortable alliant bois, bambou ou rotin est l'endroit parfait pour toutes les âmes voulant renouer quelques temps avec la nature. Même le shampooing et le gel douche sont fabriqués à base de matières respectueuses de l'environnement, et l'alimentation électrique provient de l'énergie solaire.

À 20 km du bourg de Sa Pa (province de Lào Cai, Nord), Topas Sa Pa s'étend sur cinq hectares dans la commune de Thanh Kim, sur les contreforts du mont Topas Ecolodge qui fait partie du massif de Hoàng Liên. Ses 25 villas s'éparpillent ça et là sur les pentes et sont reliées par un chemin caillouteux. Du balcon, on peut contempler la vallée Muong Hoa, ses champs en gradins et de petits villages. Le climat change chaque jour au fil des quatre saisons. En l'absence de brouillard, les touristes semblent se plonger dans la beauté de la nature : des chemins ondulés, des cours d'eau serpentant tels des bandes de soie brillantes sous le soleil, des maisons qui tantôt apparaissent, tantôt disparaissent… C'est cette ambiance paisible que viennent chercher les visiteurs.

Maker Tent, un Anglais qui passe un petit séjour de quatre jours à Topas Sa Pa, est ravi : "Cette villégiature est extraordinaire. Outre les paysages pittoresques de la montagne de Sa Pa, je suis plongé dans un environnement on ne peut plus respectueux de la nature". De plus, pour ce touriste, il ne faut manquer, et ce sous aucun prétexte la découverte des traits culturels des minorités ethniques qui peuplent la région, comme la dégustation de l'alcool de riz des Dao au village de Thanh Kim, ou encore les plats spéciaux des Tày au village de Ban Hô...

Une fois établis à Topas Sapa, c'est un sentiment profond de plénitude et de relaxation qui envahit les visiteurs, qu'ils soient vietnamiens ou étrangers. Helen Asana, une Australienne, y est déjà venue à deux reprises. "J'aime contempler l'aurore ici. Le soleil s'élève petit à petit au-dessus des monts lointains, les nuages semblent aussi diffuser la lumière, le tout dans un cadre ou le calme et la nature sont demeurés rois...", confie-t-elle.

Autre caractéristique, Topas Sa Pa est totalement "émancipé" des équipements du monde civilisé : ni téléviseur ni réfrigérateur, il n'y a que quelques lampes fonctionnant à l'énergie solaire.

Avec ses particularités, Topas Sa Pas n'est pas à la portée de toutes les bourses. Il faut compter 108 dollars pour une chambre simple et 112 dollars pour une double. Ce qui n'empêche pas les 25 villas d'afficher presque complet, ce quelle que soit la période de l'année. Pourquoi un tel engouement alors ? Peut-être parce que la relaxation et le bien-être qu'apportent les lieux n'ont pas de prix, tout simplement

Source: http://fr.vietnamplus.vn
Read more...